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5 février 2011

Les coups de coeur d'Agnès

Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants Le 13 mai 1506, un certain Michelangelo Buonarotti débarque à Constantinople. A Rome, il a laissé en plan le tombeau qu'il dessine pour Jules II le pape guerrier et mauvais payeur. Il répond à l'invitation du Sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'or, projet retiré à Leonardo da Vinci. Urgence de la commande, tourbillon des rencontres, séductions et dangers de l'étrangeté byzantine, Michel-Ange, l'homme de la renaissance, esquisse avec l'Orient un sublime rendez-vous manqué.

Sukkwan Island Sukkwan Island reconte l'histoire d'un père et de son fils partis pour vivre un an dans une cabane sur une île d'Alaska. Le fils âgé de 13 ans est là contre son gré, il n'a pas osé dire non à son père, qu'il sait fragile. Les élèments sont hostiles, les carences du père abyssales, les relations père-fils épouvantables. Le lecteur sent que tout tournera mal. Il est pris au dépourvu lorsque, finalement, tout se termine mal, mais encore pire qu'il ne l'imaginait.

Les Chaussures italiennes A soixante-six ans, Fredik Welin vit reclus reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l'archipel.

Depuis qu'une tragique erreur a brisée sa carrière de chirurgien, il s'est isolé des hommes. Pour se prouver qu'il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s'y immerge chaque matin. Au solstice d'hiver, cette routine est interrompue par l'intrusion d'Harriet, la femme qu'il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredik ne le sait pas encore, mais sa vie vient de recommencer.

Où on va, papa ? Lorsque j'ai tenu ce livre entre les mains pour la première fois, j'ai longuement hésité avant de l'ouvrir : je connaissais vaguement son contenu et redoutais d'être confrontée à une lecture difficile, ou plutôt douloureuse sur un sujet tragique.

La lecture de la première page m'a pourtant conduite à continuer, encore et encore... pour finir par atteindre la dernière phrase sans la moindre interruption, sans jamais reposer ce précieux recueil que j'ai ensuite rerfermé et contemplé longuement, bouleversée.

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